Étudiants et personnels du SCUIO-IP de l’université Jean-Jaurès (photo UTJ2)
Rencontre avec les étudiants de l’Université Toulouse Jean Jaurès
Petite devinette ! Que fait-on à Toulouse, un lundi d’avril entre midi et 14 h à l’Université Jean-Jaurès ?
Pas de déjeuner au Resto U… Seulement une réunion organisée en direction des étudiants boursiers, dans le cadre de la campagne de recrutement de la promo 2026 de la « prépa » La Chance pour la diversité dans les médias.
Cette Rencontre 2025 a permis au pôle toulousain de présenter La Chance à une vingtaine d’étudiants et neuf personnels du SCUIO-IP (Service commun universitaire d’information, d’orientation et d’insertion professionnelle), co-organisateur pour la 3e année consécutive.
Sylvie Plouraboué, chargée d’orientation et d’insertion professionnelle, et Thierry Noël, co-référent de La Chance, ont animé la séance, aux côtés de Charlène Sabatier et Amaury Decool (promo 2025), qui ont apporté leurs témoignages.
En visio, des “anciens” de La Chance, passés par l’UTJ2 : les journalistes Mazigh Abdelli (ex-IPJ) et Julie Cedo (ex-EPJT), et deux étudiantes, Manon Brunel (EJCAM) et Léana Bolle (Sciences Po) de la promo 2023.
Gratuité de La Chance, sa pédagogie, les concours, les écoles reconnues par la profession, comment construire son projet professionnel et son parcours de formation, chacun a pu apporter questions et réponses sur les réalités du métier de journaliste, les aptitudes recherchées, la construction de sa personnalité.
L’accent a été mis sur tout ce qui peut faire la différence dans la perspective des concours : les atouts des stages et du réseau des professionnels bénévoles de La Chance, les avantages et inconvénients de l’alternance.
De g. à d. Thierry Noël, Charlène Sabatier, Amaury Decool (photo UTJ2)
Mazigh a montré en quoi ses études de cinéma lui servent aujourd’hui comme pigiste à France 2 et C Productions (M6) ; Manon a bien vendu Marseille et l’intérêt des stages à La Provence ; Léana a raconté comment le jury de Sciences po l’avait cuisinée 10 mn sur son job de femme de chambre qu’elle estime avoir été déterminant pour son recrutement dans cette école ; Julie est revenue sur sa formation à Tours, ses études littéraires, son absence de diplôme à 1/2 point près qui n’a pas empêché son emploi à BFM TV.
Une multitude d’infos qui renforceront l’envie de s’inscrire des boursiers plutôt que de tenter les concours en solo et les écoles non reconnues.
Pour rejoindre la promo 2026 de La Chance c’est par ici : https://www.lachance.media/candidature-la-chance/
